Merci pour ça, déja.
ET un petit texte.

Depuis des milliers de siècles, l'Empereur se tiens immobile sur le Trône d'Or de la Terre. Maître de l'humanité par la volonté des dieux, il possède la main haute sur les destinées de millions de mondes par la puissance de ses inépuisables légions. Il n'est plus qu'une carcasse putride vibrant sous les effets d'un pouvoir issu du Moyen-Age Technologique. Il est le Seigneur Charognard de l'Imperium, pour qui des millions d'âmes périssent chaque jour, pour qui le sang est bu et la chair dévorée. Car le sang et la chair humaine sont la matière même de l'Imperium.
Etre homme en cette époque, c'est être un parmi la multitude. C'est vivre sous le régime le plus cruel et le plus sanguinaire que l'on puisse imaginer. Voici l'histoire de ces temps. Voici l'univers duquel vous pouvez à présent franchir le seuil, si vous l'osez, car c'est un âge cruel dans lequel vous ne trouverez ni espoir, ni réconfort. Si vous voulez prendre part à l'aventure, préparez-vous dès maintenand. Oubliez les bienfaits de la technologie, de la science et de l'humanité. Oubliez les promesses de progrès et de compassion car il n'y a pas de paix parmi les étoiles, il n'y a que carnages et massacres éternels, au son des rires moqueurs des dieux assoiffés de sang.
Mais l'univers et vaste et quoi qu'il advienne, vous ne serez pas oublié ...



C'est peut être un peu long, je vais voir si je trouve quelque chose d'autre.

Voilà, j'ai mis le texte, et comme tu peux le voir, c'est trop long.

Same player shoot again.

Puisqu'on peut même pas pomper sur les bouquins de règles :

Le 41ème millénaire ! C'est un âge de conflits, d'obscurantisme et de terreurs. L'âge de l'Imperium. Assailli de toutes parts par Xenos, traîtres et hérétiques. Gangréné par la corruption, l'incompétence et les mutations.
Quelques hommes, les inquisiteurs, veillent depuis les ténèbres sur l'Imperium, prêts à imposer la volonté impériale. Ils sont aidés dans cette tâche par des hommes et des femmes dévoués, prêts à donner leur vie pour l'Empereur.
Ce sont les acolytes.

On est jamais mieux servi que par soi-même : c'est parfait.