A midi, je me rendais compte que la personne qui mangeait à côté de moi n'était autre que Mokona Noir, qui s'était montrée très agressive ces derniers temps. Suivit un duel au couteau, duquel je sortis vainqueur.
Ayant décidé de rassembler des fidèles au culte de Jeva, déesse des Charentaises, je commençais à monter un stand. La hache à la main, je croisais alors Mokona Blanc, contre lequel je dûs déployer tout mon attirail offensif pour gagner.
Un peu plus tard, alors que je travaillais, un petit roquet se mit à aboyer férocement ; je réglais le problème d'un coup de hache, provoquant ainsi Essyl, que j'achevais tranquillement à la Charentaise.

Après m'être entrainé plusieurs jours à la hache et à la lance, je décidais de confirmer mes progrès en combat réel ; je provoquais Essyl, dont le roquet n'arrêtait pas d'aboyer ; mais comme un gland, j'avais laissé mes armes au stand d'entrainement... Je réussis quand même à le vaincre en répartissant équitablement mes Charentaises entre lui et son toutou, et en finissant le travail à la main.
La coiffure rose et agressive de Tessa pointant le bout de son nez, je craquais et je lançais le combat : il s'en fallut de peu qu'elle ne gagne à coup de mega-tatanes et de "tu me tapes, mais je sens rien".
Enfin, fier de mes deux victoires, je ne me sentais plus pisser et j'enchainais avec le Mokona Blanc, qui me devait une revanche : il s'en sortit vainqueur, avec une petite claque d'avance. Je notais quand même que ma hache et ma lance n'étaient d'aucune utilité contre l'infâme bâton, et que comme je ne les prenais pas toujours avec moi, elles n'étaient d'aucune utilité tout court.

Croisant la jolie Sonea, je me suis retrouvé par terre en moins de deux. "Tiens une bonne journée en perspective!", me disais-je. C'était sans compter la non-efficacité de l'intervention de Mechant Attila et de Mange-Charrogne que j'ai ratatiné sans même me rendre compte. De plus, je deviens ivrogne: je me suis mis à la boisson comme mon "Maître" avant moi mais je viens de me rendre compte que chaque gorgée me redonnais des forces. Malheureusement, maintenant que je m'y suis mis, j'en suis devenu dépendant à mon plus grand désarroi...

Mokona Blanc, bourré (hic!...)

Attaqué par le Mokona Blanc, je me vengeais sur le Noir : après avoir jeté des armes partout, je finissais quand même par en garder une en main pour l'achever.
Je décidais ensuite d'agresser Sonea, en me disant qu'avec une arme en plus en théorie, j'avais plus de chance d'en avoir en combat ; ne me manquaient que mes Charentaises, mais malgré ça, je ne réussissais pas à la déloger derrière son bouclier, avant qu'elle ne m'achève de son glaive (un vrai gladiateur cette Sonea!).
Enfin, comme je sentais le Mokona Blanc mécontent de cette vengeance indirecte, je le provoquais en duel ; mais encore une fois, je m'inclinais devant l'impassable bâton.