Mmmm, une très dure pour (re)commencer !

je dirais :

Spoiler:

Bien joué Luciole, en effet, les six rondelles sont de retour !

Alors :

Mon première est un félin.
Mon deuxième est un félin.
Mon troisième est un félin.
Mon tout est une danse.

le chachacha ^^

Arrr, je pensais que ça aller chercher plus longtemps.

Bon au suivent !

Mettez vos réponses en "spoiler"

Une petite histoire. (Allez, courage...)

Par un beau matin, Barbe-Bleue s'occupait comme à son habitude de fesser, battre et compromettre gravement l'intégrité physique de ses compagnes. Celles ci étaient totalement asservies à cet être violent, laid et repoussant, et n'avaient qu'une envie: se tailler fissa avant de finir en chair à saucisses destinée aux crocodiles des douves, qui par ailleurs sont grandes, nous l'allons voir tout à l'heure.

Or donc, Anne, une pauvresse qu'avait "recueilli" Barbe-Bleue ne pouvait plus retenir ses larmes de se voir ainsi retenue en esclavage et promise à un sombre destin, elle et sa soeur; car oui, Barbe Bleue les avait épousé toutes deux. L'autre soeur (dont on se fout royalement du prénom, soit dit en passant), ne cessait de demander chaque jour alors qu'elle se faisait violenter: "Soeur Anne! Soeur Anne! Ne vois-tu rien venir?". Et Soeur Anne de répondre "Hélas non ma soeur, je ne voit que le chemin qui poudroie, l'herbe qui verdoie, mais sinon, que dalle!". (La pauvre n'avait que deux dixièmes à l'oeil gauche et trois à l'oeil droit).

Un jour que Barbe Bleue s'occupait à empaler très proprement la soeur d'Anne sur le plus haut étendard du chateau, cette dernière (Anne) sauta en bas des contreforts à travers un mâchicoulis pour aller chercher de l'aide (ne me demandez pas pourquoi elle ne l'a pas fait avant), et tombant lourdement sur la fine berge entourant le château, elle se trouva nez à nez avec un passeur sur son bac.

"Passeur, passeur! Je t'en prie, fait moi passer de l'autre côté.
-Ma soeur, ça fera trente deniers.
-Et bien les voici, dépêche toi de m'emmener loin de cette berge afin que je puisse quérir de l'aide pour ma soeur. (dit elle en sortant les pièces de son décolleté, qui soit dit en passant taillait bien dans du D. Au moins.).
-Très bien, je te ferais traverser les douves"

Et tel Charon sur le Styx, le passeur dirige lentement son bac, plantant son bâton dans la vase noire et putride des douves du château de l'horreur, ou encore "le manoir du taré indigo", comme d'aucuns l'appellent au village.
Arrivé sur l'autre berge, le passeur se retourne vers soeur Anne et lui dit en souriant sombrement sous son capuchon rongé par les tiques et les effluves du marais:

"Ma soeur, ça fera trente deniers.
-Comment? WTF??!! Je t'ai déja payé passeur, alors que nous étions sur la première berge!
-Ca fait quand même trente deniers. Trente au départ, trente à l'arrivée.
-Et bien je paierai, mais ce n'ai pas juste, passeur! Je me plaindrai à mon frère qui est masseur!"

Et soeur Anne, paupérisée et furax contre ce Judas de passeur, détale vers le village prévenir la milice locale, alors que les premier râles de souffrance déchirent la nuit tombantes sur les mânes des pauvresses envoyées par le fond nourrir les crocos du lac afin d'assouvrir la soif de sadisme de cet homme que les journaux de l'époque décriront, lors de son procès, comme "le Néron prussien", ou encore "le charron charognard"...

Mais qu'elle est la morale de cette histoire ?

Edit: Elle est assez dure.
REdit: That's what she said.

Mais non, elle n'est pas dure (je la connaissais)

Spoiler:

Très bonne exposition, soit dit en passant.

Bravo toutoune ! Oui, elle est pas dure si on la connais ^^!

Merci!

Tiens, dans le même genre :

Un roi voyageant en barque sur un célèbre étang à proximité d'Istres, croise un vagabond qui va, ça et là, de l'eau jusqu'aux genoux. Arrêtant son équipage, il le hèle en ces termes :

"Holà, vagabond ! Tu erre de bien étrange façon. Cours-tu toujours ainsi les étangs, pataugeant, semblable aux grenouilles, de l'eau jusques aux genoux* ?"
L'hère lui répond :
"Nenni majesté, dans cette étendue aquatique seulement. En effet ..."

Compléter la phrase.


* Il n'y a pas assez d'eau.

Et bien ?

Un indice ?

Vous connaissez la réponse. Reste à l'orthographier.

Je sais, je sais !

Spoiler:

Bien tenté, mais non. Mais tu t'approche.

Un indice ? L'étendue d'eau en question est l'étang de Berre comme n'importe qui aurait pu le savoir s'il avait pris la peine de consulter une carte.

toutoune a écrit:

Bien tenté, mais non. Mais tu t'approche.

Un indice ? L'étendue d'eau en question est l'étang de Berre comme n'importe qui aurait pu le savoir s'il avait pris la peine de consulter une carte.

Un autre indice ? Parce que l'étang de Berre est dans ma solution... pliiiz.

Laisse tomber les genoux.

Juste pour mettre mon cerveau dans le bon mode de pensée:

Est ce que c'est grivois ?

Ha, mais non, enfin.

La réponse a déjà été donnée, j'ai dit.

Cette réponse ci?

toutoune a écrit:

"Nenni majesté, dans cette étendue aquatique seulement. En effet ..."

Parce que j'y ai passé du temps.

A part à genoux, qu'est ce qui est bon dans ma proposition précédente?

J'ai dit que genoux était faux.

Et en fait, rien n'est bon dans cette réponse, quand je dit que tu brûle, c'est dans l'esprit.

toutoune a écrit:

Un indice ? L'étendue d'eau en question est l'étang de Berre comme n'importe qui aurait pu le savoir s'il avait pris la peine de consulter une carte.

J'ai fais appel à l'ami google et lui m'a sorti l'étang de l'olivier en premier choix.

En fait, quand tu dézoomes de Googlemap, tu t'aperçois que ce qui semblait être la mer à l'est n'est rien d'autre qu'un gigantesque étang.

Et ?

Ben... Je sèche ! (haha!)